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Auteur Axel Honneth |
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Ce que social veut dire, 2. Les pathologies de la raison / Axel Honneth / Gallimard (2014)
Titre de série : Ce que social veut dire, 2 Titre : Les pathologies de la raison Type de document : texte imprimé Auteurs : Axel Honneth, Auteur ; Pierre Rusch (1959-....), Traducteur Editeur : Gallimard, 2014 Collection : NRF essais, ISSN 0993-4685 Description : 1 vol. (384 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN : 978-2-07-014343-6 Prix : 24 euros Note générale : Recueil de textes extraits de trois ouvrages : "Die zerrissene Welt des Sozialen. Sozialphilosophische Aufsätze", 1990 ; "Pathologien der Vernunft. Geschichte und Gegenwart der Kritischen Theorie", 2007 ; "Das Ich im Wir. Studien zur Anerkennungstheorie", 2010 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Mots-clés : social société sociologie philosophie reconnaissance liberté communication Index. décimale : 301.01 Anthropologie et sociologie (philosophie et théorie) Résumé : Le tome I de Ce que social veut dire (2013), centré sur "Le déchirement du social", dégage, par le biais notamment d'une confrontation avec la tradition de la philosophie sociale (Sartre, Lévi-Strauss, Merleau-Ponty, Castoriadis, Bourdieu, Boltanski et Thévenot), le modèle du conflit mis en oeuvre par la théorie de la "lutte pour la reconnaissance". Mais se pose alors le problème de la justification normative de ce modèle.
Deux possibilités s'offrent, qui ont longtemps paru s'exclure mutuellement : soit la valeur normative des luttes pour la reconnaissance est appréciée selon ce qu'elles apportent à la réalisation d'une "vie bonne" parmi les membres de la société ; soit leur rôle normatif se mesure à leur contribution à l'instauration de la «justice» sociale dans la société. Dans le premier cas, c'est la réalisation individuelle de soi qui constitue le critère normatif, et, dans le deuxième, la répartition équitable des libertés individuelles entre tous les membres de la société.
Renouant avec la tradition de la Théorie critique, Honneth se confronte ici avec Adorno, Benjamin, Neumann, Mitscherlich, Wellmer, mais aussi la psychanalyse et la théorie de la justice ; il établit qu'à la différence d'autres terminologies morales qui peuvent être mobilisées pour juger de l'état normatif des sociétés - que ce soient les concepts "d'aliénation" ou de "réification" d'un côté, de "discrimination" ou "d'exploitation" de l'autre, mais qui ne relèvent que de la philosophie sociale ou de la philosophie politique -, la lutte pour la reconnaissance est à la fois l'indicateur d'une pathologie sociale et l'indice d'une injustice.Ce que social veut dire, 2. Les pathologies de la raison [texte imprimé] / Axel Honneth, Auteur ; Pierre Rusch (1959-....), Traducteur . - Gallimard, 2014 . - 1 vol. (384 p.) ; 21 cm. - (NRF essais, ISSN 0993-4685) .
ISBN : 978-2-07-014343-6 : 24 euros
Recueil de textes extraits de trois ouvrages : "Die zerrissene Welt des Sozialen. Sozialphilosophische Aufsätze", 1990 ; "Pathologien der Vernunft. Geschichte und Gegenwart der Kritischen Theorie", 2007 ; "Das Ich im Wir. Studien zur Anerkennungstheorie", 2010
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Mots-clés : social société sociologie philosophie reconnaissance liberté communication Index. décimale : 301.01 Anthropologie et sociologie (philosophie et théorie) Résumé : Le tome I de Ce que social veut dire (2013), centré sur "Le déchirement du social", dégage, par le biais notamment d'une confrontation avec la tradition de la philosophie sociale (Sartre, Lévi-Strauss, Merleau-Ponty, Castoriadis, Bourdieu, Boltanski et Thévenot), le modèle du conflit mis en oeuvre par la théorie de la "lutte pour la reconnaissance". Mais se pose alors le problème de la justification normative de ce modèle.
Deux possibilités s'offrent, qui ont longtemps paru s'exclure mutuellement : soit la valeur normative des luttes pour la reconnaissance est appréciée selon ce qu'elles apportent à la réalisation d'une "vie bonne" parmi les membres de la société ; soit leur rôle normatif se mesure à leur contribution à l'instauration de la «justice» sociale dans la société. Dans le premier cas, c'est la réalisation individuelle de soi qui constitue le critère normatif, et, dans le deuxième, la répartition équitable des libertés individuelles entre tous les membres de la société.
Renouant avec la tradition de la Théorie critique, Honneth se confronte ici avec Adorno, Benjamin, Neumann, Mitscherlich, Wellmer, mais aussi la psychanalyse et la théorie de la justice ; il établit qu'à la différence d'autres terminologies morales qui peuvent être mobilisées pour juger de l'état normatif des sociétés - que ce soient les concepts "d'aliénation" ou de "réification" d'un côté, de "discrimination" ou "d'exploitation" de l'autre, mais qui ne relèvent que de la philosophie sociale ou de la philosophie politique -, la lutte pour la reconnaissance est à la fois l'indicateur d'une pathologie sociale et l'indice d'une injustice.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 027504 301.01 HON livre BU Keraudren 300 Sciences sociales / Enseignement Disponible La lutte pour la reconnaissance / Axel Honneth / Gallimard (2013)
Titre : La lutte pour la reconnaissance Type de document : texte imprimé Auteurs : Axel Honneth, Auteur Editeur : Gallimard, 2013 Collection : Folio Essais Description : 347 p. ISBN/ISSN : 978-2-07-044357-4 Prix : 10,90 euros Note générale : Info-Comm Langues : Français (fre) Mots-clés : information communication société individu personnalité reconnaissance humain philosophie psychologie morale Index. décimale : 155.2 Psychologie individuelle Résumé : Axel Honneth est aujourd'hui, au niveau international, le représentant de la troisième génération de l'École de Francfort. Il en a maintenu le cap de la critique, celle notamment de la philosophie sociale moderne qui, depuis Machiavel et Hobbes, présuppose un rapport d'hostilité entre les individus désireux de garantir les conditions de leur survie. Axel Honneth interprète, à partir du jeune Hegel, les conflits humains dans la perspective d'une demande de reconnaissance : il met ainsi en lumière la dimension morale inhérente à tout affrontement et reconstruit l'évolution sociale à partir des luttes réelles ou symboliques dans lesquelles l'individu ne cherche pas tant à supprimer son adversaire qu'à être reconnu par lui dans son individualité (que ce soit l'amour, le droit ou la solidarité). Par ailleurs, la psychologie sociale moderne (les travaux de G. H. Mead et de D. W. Winnicott en particulier) enracine cette approche dans les mécanismes de formation de la personnalité humaine. En distinguant, dans cet ouvrage qui est au fondement de tout son travail depuis lors, trois formes de mépris - l'atteinte physique, l'atteinte juridique et l'atteinte à la dignité de l'individu -, correspondant aux stades de développement du rapport de reconnaissance, Axel Honneth nous dote d'un précieux instrument critique - une véritable «grammaire morale des conflits sociaux», fondée sur une théorie intégrée de l'homme et de la société.
Axel Honneth, philosophe et sociologue, dirige depuis 2001 l'Institut de recherche sociale de l'université de Francfort où il a succédé à Jürgen Habermas.La lutte pour la reconnaissance [texte imprimé] / Axel Honneth, Auteur . - Gallimard, 2013 . - 347 p.. - (Folio Essais) .
ISBN : 978-2-07-044357-4 : 10,90 euros
Info-Comm
Langues : Français (fre)
Mots-clés : information communication société individu personnalité reconnaissance humain philosophie psychologie morale Index. décimale : 155.2 Psychologie individuelle Résumé : Axel Honneth est aujourd'hui, au niveau international, le représentant de la troisième génération de l'École de Francfort. Il en a maintenu le cap de la critique, celle notamment de la philosophie sociale moderne qui, depuis Machiavel et Hobbes, présuppose un rapport d'hostilité entre les individus désireux de garantir les conditions de leur survie. Axel Honneth interprète, à partir du jeune Hegel, les conflits humains dans la perspective d'une demande de reconnaissance : il met ainsi en lumière la dimension morale inhérente à tout affrontement et reconstruit l'évolution sociale à partir des luttes réelles ou symboliques dans lesquelles l'individu ne cherche pas tant à supprimer son adversaire qu'à être reconnu par lui dans son individualité (que ce soit l'amour, le droit ou la solidarité). Par ailleurs, la psychologie sociale moderne (les travaux de G. H. Mead et de D. W. Winnicott en particulier) enracine cette approche dans les mécanismes de formation de la personnalité humaine. En distinguant, dans cet ouvrage qui est au fondement de tout son travail depuis lors, trois formes de mépris - l'atteinte physique, l'atteinte juridique et l'atteinte à la dignité de l'individu -, correspondant aux stades de développement du rapport de reconnaissance, Axel Honneth nous dote d'un précieux instrument critique - une véritable «grammaire morale des conflits sociaux», fondée sur une théorie intégrée de l'homme et de la société.
Axel Honneth, philosophe et sociologue, dirige depuis 2001 l'Institut de recherche sociale de l'université de Francfort où il a succédé à Jürgen Habermas.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 026470 155.2 HON livre BU Keraudren 100 Psychologie / Philosophie Disponible