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Titre : L'emprise scolaire : Quand trop d'école tue l'éducation Type de document : texte imprimé Auteurs : François Dubet, Auteur ; Marie Duru-Bellat (1950-....), Auteur Editeur : [Paris] : SciencesPo, les presses, DL 2024 Description : 1 volume (247 pages) Format : 19 cm ISBN/ISSN : 978-2-7246-4300-8 Prix : 16 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : sociologie école éducation inégalité accès au savoir diplôme déclassement scolarisation méritocratie réussite scolaire Index. décimale : 306.43 Sociologie de l'éducation (anthropologie de l'éducation) Résumé : Alors qu'elle n'a jamais occupé une place aussi importante dans nos sociétés où elle est chargée de déterminer la valeur des individus, l'éducation scolaire ne tient pas ses promesses. D'un côté, les jeunes ont le sentiment, non sans raison, de jouer leur destinée à l'école et leurs parents s'épuisent à leur faire obtenir les meilleurs classements, au prix de tensions quotidiennes et de multiples sacrifices. De l'autre, les inégalités scolaires ne sont pas résorbées. L'extension des études n'a pas garanti une élévation proportionnelle des acquis et des compétences, pas plus qu'elle n'a renforcé l'adhésion aux valeurs civiques, alimentant même la rancoeur de ceux qui sortent perdants du système.
Faut-il alors s'entêter dans ce « toujours plus » d'école et de diplômes, en espérant qu'à un horizon indéterminé, les bienfaits de cette course en avant se feront sentir ?L'emprise scolaire : Quand trop d'école tue l'éducation [texte imprimé] / François Dubet, Auteur ; Marie Duru-Bellat (1950-....), Auteur . - [Paris] : SciencesPo, les presses, DL 2024 . - 1 volume (247 pages) ; 19 cm.
ISBN : 978-2-7246-4300-8 : 16 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : sociologie école éducation inégalité accès au savoir diplôme déclassement scolarisation méritocratie réussite scolaire Index. décimale : 306.43 Sociologie de l'éducation (anthropologie de l'éducation) Résumé : Alors qu'elle n'a jamais occupé une place aussi importante dans nos sociétés où elle est chargée de déterminer la valeur des individus, l'éducation scolaire ne tient pas ses promesses. D'un côté, les jeunes ont le sentiment, non sans raison, de jouer leur destinée à l'école et leurs parents s'épuisent à leur faire obtenir les meilleurs classements, au prix de tensions quotidiennes et de multiples sacrifices. De l'autre, les inégalités scolaires ne sont pas résorbées. L'extension des études n'a pas garanti une élévation proportionnelle des acquis et des compétences, pas plus qu'elle n'a renforcé l'adhésion aux valeurs civiques, alimentant même la rancoeur de ceux qui sortent perdants du système.
Faut-il alors s'entêter dans ce « toujours plus » d'école et de diplômes, en espérant qu'à un horizon indéterminé, les bienfaits de cette course en avant se feront sentir ?Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 027904 306.43 DUB livre BU Keraudren 300 Sciences sociales / Enseignement Disponible 027900 306.43 DUB livre Centre de ressources-EC29 300 Sciences sociales / Enseignement Disponible
Titre : La tyrannie du genre Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Duru-Bellat (1950-....), Auteur Editeur : [Paris] : SciencesPo, les presses, 2017 Description : 1 vol. (309 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN : 978-2-7246-2140-2 Prix : 17 EUR Note générale : La 4e de couv. porte en plus : "genre"
Bibliogr. p. 296-305Langues : Français (fre) Mots-clés : sociologie société genre inégalité sexualisation homme femme discrimination sexisme stéréotype mixité fille garçon Index. décimale : 305.3 Personnes selon le genre ou le sexe Résumé : Un déguisement de princesse et un aspirateur pour les filles, un château fort et une voiture radiocommandée pour les garçons… On pourrait penser qu'un choix de jouets aussi stéréotypé appartiendrait au passé. Il n'en est rien. Une sexualisation de plus en plus marquée s'observe dans l'éducation comme dans tous les domaines de la vie sociale. Ces traitements différenciés ne sont pas systématiquement perçus comme des inégalités. Ils sont justifiés par des croyances en des distinctions essentielles, d'ordre « naturel », entre femmes et hommes. Un ensemble de discours psychologisants, de normes et de symboles en découle, qui a des conséquences multiformes sur les rôles assignés à chacun et chacune. Alors que la notion de genre a été promue par les sociologues pour révéler les rapports de domination, l'invoquer à tout propos, qu'il s'agisse de féminiser la langue ou de prôner la parité, instille l'idée que femmes et hommes sont toujours, partout et avant tout, non des personnes uniques mais des prototypes de leur groupe de sexe. Sociologue, Marie Duru-Bellat est professeur émérite à Sciences Po et chercheur à l'Observatoire sociologique du changement et à l'Institut de recherche sur l'éducation. La tyrannie du genre [texte imprimé] / Marie Duru-Bellat (1950-....), Auteur . - [Paris] : SciencesPo, les presses, 2017 . - 1 vol. (309 p.) ; 19 cm.
ISBN : 978-2-7246-2140-2 : 17 EUR
La 4e de couv. porte en plus : "genre"
Bibliogr. p. 296-305
Langues : Français (fre)
Mots-clés : sociologie société genre inégalité sexualisation homme femme discrimination sexisme stéréotype mixité fille garçon Index. décimale : 305.3 Personnes selon le genre ou le sexe Résumé : Un déguisement de princesse et un aspirateur pour les filles, un château fort et une voiture radiocommandée pour les garçons… On pourrait penser qu'un choix de jouets aussi stéréotypé appartiendrait au passé. Il n'en est rien. Une sexualisation de plus en plus marquée s'observe dans l'éducation comme dans tous les domaines de la vie sociale. Ces traitements différenciés ne sont pas systématiquement perçus comme des inégalités. Ils sont justifiés par des croyances en des distinctions essentielles, d'ordre « naturel », entre femmes et hommes. Un ensemble de discours psychologisants, de normes et de symboles en découle, qui a des conséquences multiformes sur les rôles assignés à chacun et chacune. Alors que la notion de genre a été promue par les sociologues pour révéler les rapports de domination, l'invoquer à tout propos, qu'il s'agisse de féminiser la langue ou de prôner la parité, instille l'idée que femmes et hommes sont toujours, partout et avant tout, non des personnes uniques mais des prototypes de leur groupe de sexe. Sociologue, Marie Duru-Bellat est professeur émérite à Sciences Po et chercheur à l'Observatoire sociologique du changement et à l'Institut de recherche sur l'éducation. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 027057 305.3 DUR livre BU Keraudren 300 Sciences sociales / Enseignement Disponible
