Titre : |
L'école des femmes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Molière, Auteur |
Editeur : |
Larousse, 1970 |
Collection : |
Nouveaux classiques |
Description : |
142 p. |
ISBN/ISSN : |
978-2-03-870104-3 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
littérature classique comédie théâtre jalousie femme quiproquos comique humour amour société mariage |
Résumé : |
Arnolphe prétend quune femme ne peut être sage et vertueuse quautant quelle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille, Agnès, au fond de sa maison, sous la garde dun valet et dune servante aussi niais quelle.
La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de lisolement où on la retient. Sétant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau jeune homme qui la salue ; elle, qui ignore jusquaux plus simples convenances, rend le salut quon lui fait et se laisse bientôt prendre au bel air et aux belles paroles du jeune Horace. On rit du supplice où les confidences dHorace mettent le pauvre Arnolphe qui finit par faire pitié, tant il est puni de son système déducation. |
L'école des femmes [texte imprimé] / Molière, Auteur . - Larousse, 1970 . - 142 p.. - ( Nouveaux classiques) . ISBN : 978-2-03-870104-3 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
littérature classique comédie théâtre jalousie femme quiproquos comique humour amour société mariage |
Résumé : |
Arnolphe prétend quune femme ne peut être sage et vertueuse quautant quelle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille, Agnès, au fond de sa maison, sous la garde dun valet et dune servante aussi niais quelle.
La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de lisolement où on la retient. Sétant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau jeune homme qui la salue ; elle, qui ignore jusquaux plus simples convenances, rend le salut quon lui fait et se laisse bientôt prendre au bel air et aux belles paroles du jeune Horace. On rit du supplice où les confidences dHorace mettent le pauvre Arnolphe qui finit par faire pitié, tant il est puni de son système déducation. |
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