Sciences Humaines, n°N° 382 (Octobre 2025) : Comment vivre quand tout nous affecte ?

• Est un bulletin de : Sciences Humaines
• • Format : 98 p.
  • Langues : Français
• • Note de contenu : Rencontre : Gérard Noiriel
    - "L'histoire doit permettre aux gens de s'émanciper"
    Brèves de savoir : L'actualité de la recherche en sciences humaines
    - Ma thèse en 3 points : Thomas Maineult : La Palestine, une cause française ?
    - L'objet du mois : Le distributeur automatique
    - Nos lieux communs : Chronique de Jean-Laurent Cassely : Mille plateaux
    - Portrait de chercheuse : Anne Le Draoulec - Accords et désaccords de genre
    Grands Angles :
    - Terrain d'enquête : A Dax dans les Landes, le pari du village Alzheimer
    - Les grands énigmes : Néandertal était-il vraiment un chic type ?
    Dossier : Hypersensibles : Comment vivre quand tout nous affecte ?
    - La vie à fleur de peau
    - 3 questions à Alex Maignan
    - Une brève histoire de la sensibilité
    - Zaho de Sagazan face à Saverio Tomasella : "Grands sensibles, relions-nous !"
    - Etes-vous orchidée ou pissenlit ?
    - Grandir avec un coeur trop grand
    - "C'est un écorché vif, comme son père"
    - Des femmes surreprésentées ?
    - La sensibilité, valeur en hausse
    - A l'aveugle : qui a écrit ce texte ?
    - Bibliographie sélective
    Références :
    - Bell Hooks : écrire depuis la marge
    - L'illustre inconnu : Hans Asperger
    - Mythologie : Pêche à la sagesse
    Les livres et la culture
    La question qui fâche : Prier dans la rue : une liberté qui ne va pas de soi ?
  • Résumé :

    Érigée en identité par certains, simple effet de mode pour d’autres, l’hypersensibilité intrigue. Est-ce un atout ou un fardeau ? Une réalité psychologique, adossée à des recherches scientifiques, ou une étiquette commode qui flatte l’air du temps ?

    Entre reconnaissance sociale et doutes académiques, ce trait de personnalité concernerait environ une personne sur cinq, et suscite des débats passionnés. Si elle peut être source d’épuisement ou de souffrance dans un environnement hostile, elle semble aussi favoriser l’empathie, la créativité et une certaine finesse d’analyse, pour peu qu’on accepte de lui faire une place.